Saint-Pétersbourg, en Russie
Au bord du delta de la Neva, sur la mer Baltique, Saint-Pétersbourg dévoile ses majestueux canaux séparant les quarante-deux îles qui la composent. Cette ville aux allures impériales fut construite par le tsar Pierre le Grand, en 1703, dans l’optique de s’ouvrir sur l’Europe et de lui exposer son rayonnement culturel. Elle fut la capitale de l’empire russe, avant d’être détrônée par Moscou, en 1917.
Le long de ses nombreux canaux, Saint-Pétersbourg éparpille des édifices à l’architecture hétéroclite. Le palais d’Hiver, le long de la Neva, fut construit dès 1754 par la fille de Pierre le Grand, Elizabeth Petrovna. Cette résidence impériale, de style baroque, abrite depuis la fin du 18e siècle, grâce à Catherine II de Russie, le palais de l’Ermitage.
Transformé en l’un des plus grands musées au monde, l’Ermitage expose entre ses murs la plus importante collection d’œuvres impressionnistes.
© Patrick Barry Barr
Au détour d’un canal se dresse l’amusante cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé et ses bulbes colorés. Sa construction débuta en 1883, à l’endroit où Alexandre II fut tué, et s’étala sur vingt-cinq ans.
L’architecte Alfred Parland édifia les bases de la cathédrale non sur des pilotis, mais sur une dalle de béton. La cathédrale se pare de nombreuses mosaïques, ainsi que de feuilles de cuivre, marbre, granit … le tout dans un agréable chatoiement de couleurs : bulbes aux émaux multicolores et coupoles dorées dominent la façade, dont des tuiles colorées recouvrent les toits.
Au cœur des jardins du palais de Chesme, la façade rayée rouge et blanche de l’église de Saint Jean le Baptiste s’élève, surmontée de ses trois clochers aux coupoles grises. La petite église orthodoxe russe fut conçue par l’architecte Yury Velten, en 1780, sur demande de Catherine II de Russie. Le palais de Chesme a, quant à lui, été construit afin de commémorer la victoire russe sur la Turquie, lors de la bataille de Chesme (fin du 18e siècle).
© Yusr Wang
Au bord du delta de la Neva, sur la mer Baltique, Saint-Pétersbourg dévoile ses majestueux canaux séparant les quarante-deux îles qui la composent. Cette ville aux allures impériales fut construite par le tsar Pierre le Grand, en 1703, dans l’optique de s’ouvrir sur l’Europe et de lui exposer son rayonnement culturel. Elle fut la capitale de l’empire russe, avant d’être détrônée par Moscou, en 1917.
Le long de ses nombreux canaux, Saint-Pétersbourg éparpille des édifices à l’architecture hétéroclite. Le palais d’Hiver, le long de la Neva, fut construit dès 1754 par la fille de Pierre le Grand, Elizabeth Petrovna. Cette résidence impériale, de style baroque, abrite depuis la fin du 18e siècle, grâce à Catherine II de Russie, le palais de l’Ermitage.
Transformé en l’un des plus grands musées au monde, l’Ermitage expose entre ses murs la plus importante collection d’œuvres impressionnistes.
© Patrick Barry Barr
Au détour d’un canal se dresse l’amusante cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé et ses bulbes colorés. Sa construction débuta en 1883, à l’endroit où Alexandre II fut tué, et s’étala sur vingt-cinq ans.
L’architecte Alfred Parland édifia les bases de la cathédrale non sur des pilotis, mais sur une dalle de béton. La cathédrale se pare de nombreuses mosaïques, ainsi que de feuilles de cuivre, marbre, granit … le tout dans un agréable chatoiement de couleurs : bulbes aux émaux multicolores et coupoles dorées dominent la façade, dont des tuiles colorées recouvrent les toits.
Au cœur des jardins du palais de Chesme, la façade rayée rouge et blanche de l’église de Saint Jean le Baptiste s’élève, surmontée de ses trois clochers aux coupoles grises. La petite église orthodoxe russe fut conçue par l’architecte Yury Velten, en 1780, sur demande de Catherine II de Russie. Le palais de Chesme a, quant à lui, été construit afin de commémorer la victoire russe sur la Turquie, lors de la bataille de Chesme (fin du 18e siècle).
© Yusr Wang