Grenade, en Espagne
L’andalouse Grenade regorge de merveilles culturelles et architecturales ; elle doit son actuel visage au croisement de deux civilisations : la civilisation islamique règna à Grenade jusqu’en 1492, date à laquelle les Chrétiens chassèrent les Maures de la péninsule ibérique. Le sultan Boabdil remît alors les clefs de la ville à Isabelle I de Castille, ainsi qu’à Ferdinand II d’Aragon.
© Elly Yusof
S’étalant sur l’une des deux collines qui surplombent la ville moderne, l’Alhambra est le plus célèbre monument de Grenade, et l’une des œuvres majeures laissée par la civilisation islamique en Espagne.
L’Alhambra doit son nom aux tons rougeoyants que prennent ses murs lors du coucher du soleil. Le souverain nasride Mohammed ben Nazar ordonna la construction du château, en 1238. Château qui devint forteresse sous le règne de Mohammed II.
Le palais mauresque fut sauvé des velléités destructrices des rois catholiques, désireux d’enlever toute trace de l’islam en Espagne, grâce à sa splendeur.
Près de la forteresse de l’Alhambra s’étendent les somptueux jardins du Generalife, qui abritait la résidence d’été des émirs, aux 13e et 14e siècles. Des pièces d’eau parsèment les jardins à la verdure rafraichissante, dévalant les collines de la Sierra Nevada.
En dépassant le pittoresque quartier de l’Albaicin, dont les maisons mélangent le style architectural maure et andalou, vous arriverez à l’étrange quartier de Sacromonte : des cavernes aménagées dans la roche et peintes en blanc.
© Elizabeth
L’andalouse Grenade regorge de merveilles culturelles et architecturales ; elle doit son actuel visage au croisement de deux civilisations : la civilisation islamique règna à Grenade jusqu’en 1492, date à laquelle les Chrétiens chassèrent les Maures de la péninsule ibérique. Le sultan Boabdil remît alors les clefs de la ville à Isabelle I de Castille, ainsi qu’à Ferdinand II d’Aragon.
© Elly Yusof
S’étalant sur l’une des deux collines qui surplombent la ville moderne, l’Alhambra est le plus célèbre monument de Grenade, et l’une des œuvres majeures laissée par la civilisation islamique en Espagne.
L’Alhambra doit son nom aux tons rougeoyants que prennent ses murs lors du coucher du soleil. Le souverain nasride Mohammed ben Nazar ordonna la construction du château, en 1238. Château qui devint forteresse sous le règne de Mohammed II.
Le palais mauresque fut sauvé des velléités destructrices des rois catholiques, désireux d’enlever toute trace de l’islam en Espagne, grâce à sa splendeur.
Près de la forteresse de l’Alhambra s’étendent les somptueux jardins du Generalife, qui abritait la résidence d’été des émirs, aux 13e et 14e siècles. Des pièces d’eau parsèment les jardins à la verdure rafraichissante, dévalant les collines de la Sierra Nevada.
En dépassant le pittoresque quartier de l’Albaicin, dont les maisons mélangent le style architectural maure et andalou, vous arriverez à l’étrange quartier de Sacromonte : des cavernes aménagées dans la roche et peintes en blanc.
© Elizabeth