Rome, en Italie
La ville éternelle éparpille ses sept collines, au bord du Tibre. Rome regorge d’une histoire extrêmement riche, qui déborde à chaque coin de rue. L’ancienne capitale de l’Empire romain recèle de merveilles historiques et architecturales.
Dans le centre de la ville, le Colisée (Amphitheatrum flavium) dresse ses hauts murs, dont la construction débuta en l’an 70, sous l’empereur Vespasien. L’amphithéâtre fut inauguré par des jeux qui s’étalèrent sur 100 jours. De forme elliptique, le Colisée pouvait accueillir 52.000 personnes, réparties sur quatre étages. L’arène était composée d’un sol de bois reposant sur un sous-sol de murs de pierres où étaient entreposés les équipements pour le spectacle.
© Kurt Weyerhauser
Dominant Rome du haut de sa colline, la célèbre place du Capitole, dessinée par Michel Ange, est recouverte de lignes géométriques continuant l’étoile centrale. Une copie de la statue équestre de Marc Aurèle trône au centre de la place, bordée de musées (dont le musée du Capitole).
© Ricardo Calovi
Adossée au palazzo Poli, la magnifique fontaine de Trevi occupe tout l’espace de la petite place sur laquelle elle fut bâtie. Elle fut commandée en 1732 au sculpteur italien Niccolo Salvi, dont ce fut le chef d’œuvre baroque.
Les pièces qui y sont jetées par les touristes (et censées garantir un retour à Rome) sont récupérées par la police afin d’être reversées à des œuvres de charité.
© Diego de Miranda
Le monument à la mémoire de Victor Emmanuel II, d’architecture néoclassique, domine le centre ville de Rome de sa haute silhouette blanche. Surnommé la « machine à écrire » à cause de son imposante façade trônant au centre de la place Venezia, l’Autel de la Patrie fut construit en 1885 afin de rendre hommage à l’unité italienne. Les deux fontaines qui l’encadrent représentent les mers Adriatique et Tyrrhénienne.
Conçu par l’empereur Hadrien qui voulait en faire son mausolée, le Castel Sant’Angelo domine la rive droite du Tibre. Le pont Ælius (l’actuel Ponte Sant’Angelo) liait le mausolée d’Hadrien au Champ de Mars, à l’autre bout duquel le mausolée d’Auguste dressait sa façade. Le château sera cependant détourné de son attribution d’origine, et sera utilisé à des fins militaires, notamment pour protéger le Vatican.
Le Castel Sant’Angelo doit son nom au pape Grégoire I : au moment de la grande peste, en 510, il aurait vu l’archange Michel, au sommet du château, rengainer son épée et annoncer ainsi la fin de l’épidémie.
Le Ponte Sant’Angelo est bordé de statues, sculptées au 17e siècle par Bernin et ses élèves, portant les instruments de la passion.
© Nicola del Mutolo
La ville éternelle éparpille ses sept collines, au bord du Tibre. Rome regorge d’une histoire extrêmement riche, qui déborde à chaque coin de rue. L’ancienne capitale de l’Empire romain recèle de merveilles historiques et architecturales.
Dans le centre de la ville, le Colisée (Amphitheatrum flavium) dresse ses hauts murs, dont la construction débuta en l’an 70, sous l’empereur Vespasien. L’amphithéâtre fut inauguré par des jeux qui s’étalèrent sur 100 jours. De forme elliptique, le Colisée pouvait accueillir 52.000 personnes, réparties sur quatre étages. L’arène était composée d’un sol de bois reposant sur un sous-sol de murs de pierres où étaient entreposés les équipements pour le spectacle.
© Kurt Weyerhauser
Dominant Rome du haut de sa colline, la célèbre place du Capitole, dessinée par Michel Ange, est recouverte de lignes géométriques continuant l’étoile centrale. Une copie de la statue équestre de Marc Aurèle trône au centre de la place, bordée de musées (dont le musée du Capitole).
© Ricardo Calovi
Adossée au palazzo Poli, la magnifique fontaine de Trevi occupe tout l’espace de la petite place sur laquelle elle fut bâtie. Elle fut commandée en 1732 au sculpteur italien Niccolo Salvi, dont ce fut le chef d’œuvre baroque.
Les pièces qui y sont jetées par les touristes (et censées garantir un retour à Rome) sont récupérées par la police afin d’être reversées à des œuvres de charité.
© Diego de Miranda
Le monument à la mémoire de Victor Emmanuel II, d’architecture néoclassique, domine le centre ville de Rome de sa haute silhouette blanche. Surnommé la « machine à écrire » à cause de son imposante façade trônant au centre de la place Venezia, l’Autel de la Patrie fut construit en 1885 afin de rendre hommage à l’unité italienne. Les deux fontaines qui l’encadrent représentent les mers Adriatique et Tyrrhénienne.
Conçu par l’empereur Hadrien qui voulait en faire son mausolée, le Castel Sant’Angelo domine la rive droite du Tibre. Le pont Ælius (l’actuel Ponte Sant’Angelo) liait le mausolée d’Hadrien au Champ de Mars, à l’autre bout duquel le mausolée d’Auguste dressait sa façade. Le château sera cependant détourné de son attribution d’origine, et sera utilisé à des fins militaires, notamment pour protéger le Vatican.
Le Castel Sant’Angelo doit son nom au pape Grégoire I : au moment de la grande peste, en 510, il aurait vu l’archange Michel, au sommet du château, rengainer son épée et annoncer ainsi la fin de l’épidémie.
Le Ponte Sant’Angelo est bordé de statues, sculptées au 17e siècle par Bernin et ses élèves, portant les instruments de la passion.
© Nicola del Mutolo