Le manque de sommeil fait manger gras
La privation de sommeil influe sur nos choix alimentaires : cela se voit dans le cerveau.
Et plus précisément dans le lobe frontal, expliquent ces chercheurs de l’université de Californie (Berkeley), une région où se jouent des fonctions comportementales cruciales (mouvements, associations, décisions…).
Une vingtaine de volontaires ont été recrutés pour participer à une expérience consistant à observer leur activité cérébrale soit après une nuit de sommeil « normale », soit après une nuit de vieille, et alors qu’ils étaient confrontés à des choix alimentaires divers. Il s’avère que le lobe frontal s’active différemment dans l’une et l’autre situation, avec, comme résultat, des envies d’aliments plus gras, plus caloriques, et en plus grandes quantités en cas de privation de sommeil.
Une équipe de l’université Columbia (New York) a conduit des recherches dans le même sens (cinq nuits consécutives limitées à quatre heures de sommeil) et a abouti au même constat. Pour résumer, la durée et la qualité du sommeil participent à la régulation de l’appétit.
Cet axe a été approfondi à l’occasion d’un congrès international de spécialistes du sommeil.
La privation de sommeil influe sur nos choix alimentaires : cela se voit dans le cerveau.
Et plus précisément dans le lobe frontal, expliquent ces chercheurs de l’université de Californie (Berkeley), une région où se jouent des fonctions comportementales cruciales (mouvements, associations, décisions…).
Une vingtaine de volontaires ont été recrutés pour participer à une expérience consistant à observer leur activité cérébrale soit après une nuit de sommeil « normale », soit après une nuit de vieille, et alors qu’ils étaient confrontés à des choix alimentaires divers. Il s’avère que le lobe frontal s’active différemment dans l’une et l’autre situation, avec, comme résultat, des envies d’aliments plus gras, plus caloriques, et en plus grandes quantités en cas de privation de sommeil.
Une équipe de l’université Columbia (New York) a conduit des recherches dans le même sens (cinq nuits consécutives limitées à quatre heures de sommeil) et a abouti au même constat. Pour résumer, la durée et la qualité du sommeil participent à la régulation de l’appétit.
Cet axe a été approfondi à l’occasion d’un congrès international de spécialistes du sommeil.