Réduire votre inflammation interne vous fera perdre les kilos de trop
Une recherche menée par la Harvard School of Public Health, démontre que près de 80% des nord-américains souffriraient d'un syndrome d'inflammation interne, également appelée inflammation silencieuse. Cette affection chronique peut-être détectée par la présence dans le sang d'un marqueur de l'inflammation, la protéine C-réactive (CRP), une molécule produite dans le foie en réaction à l'inflammation.
Les raisons de cette véritable épidémie
L'augmentation de la pollution atmosphérique, de l'eau et de l'alimentation industrielle. Les nombreux toxiques chimiques, sont perçus comme des agresseurs par le système immunitaire. Celui-ci réagit en déclanchant un signal d'alarme émis par certains transmetteurs, les prostaglandines, l'histamine et autres messagers, qui déclenchent les réactions immédiates de l'inflammation.
Un état de stress continu. Il est difficile, dans le monde moderne, de ne pas être confronté à des éléments stresseurs, responsables d'un état de détresse du mental. Cet état stimule la production, par le cerveau, d'éléments chimiques à réaction inflammatoire, selon des chercheurs de l'Université du Michigan.
Une flore intestinale en mauvais état favorise la prolifération de bactéries toxiques dans le système digestif. Cette région de l'organisme abrite près de 80% des lymphocytes macrophages et autres cellules du système immunitaire. L'action défensive du système immunitaire dans la région abdominale, déclenche d'importantes réactions inflammatoires chroniques.
La relation entre l'inflammation interne et l'excès de poids
Une étude publiée dans le British Journal of Sports Medicine révèle que d'être en surpoids augmente le taux d'activité inflammatoire dans le corps, tandis que le fait d'être en bonne condition physique le diminue. L'étude a porté sur 452 hommes en santé. En général, plus le taux de graisse corporelle des participants était élevé, plus le nombre des globules blancs l'était aussi. Un total élevé de globules blancs est un marqueur de l'activité inflammatoire et un facteur de risque important et indépendant de maladie coronarienne et de mortalité, selon l'information de base réunie dans le cadre de l'étude et présentée dans un communiqué de presse par les chercheurs du Pennington Biomedical Research Center, à Baton Rouge, en Louisiane.
L'inflammation blesse les cellules et affecte les mécanismes de l'appétit et du contrôle du poids. Cette situation est responsable de la concentration des graisses au niveau de la région abdominale. Les récepteurs d'insuline sont endommagés ce qui réduit le passage du glucose dans les cellules. Ceci a pour effet de créer une sensation de faim et une envie irrésistible de sucres simples, au niveau du cerveau qui perçoit un manque de glucose dans les cellules.
Cette situation crée un véritable cercle vicieux d'excès de glucose qui alimente l'inflammation et détruira encore plus de récepteurs d'insuline.
Finalement cette inflammation interne chronique enverra un signal de détresse au cerveau qui produira du cortisol, une hormone qui transformera en graisse le glucose en excès. Cette graisse est mise en réserve dans l'organisme, principalement au niveau de la taille.
Tous les gras en excès dans l'organisme entretiennent et alimentent le feu de l'inflammation silencieuse, faisant de l'obésité ou de l'excès de poids une maladie d'inflammation chronique.
De plus, selon les chercheurs, lorsque les cellules subissent le stress d'un excès de graisses, elles stimulent un globule blanc, le M1, qui libère des composés inflammatoires dans le sang, ce qui contribue à créer un cycle sans fin d'inflammation et de stockage de gras dans les cellules.
L'inflammation interne blesse les cellules cérébrales
Les réactions biochimiques provoquées par l'inflammation interne perturbent et diminuent la production de neurotransmetteurs tels que la sérotonine. De faibles taux de sérotonine mènent à l'accumulation des graisses, tandis que des taux élevés de sérotonine incitent à manger moins et à perdre des graisses. La sérotonine est également un puissant anti-inflammatoire.
Réduire l'inflammation interne et perdre du poids
Le plan alimentaire : ةliminez au maximum le sucre et les gras saturés d'origine animale, surtout les charcuteries et toute viande transformée, la viande rouge, les produits laitiers (se limiter à une consommation modérée de yogourt, kéfir ou fromages blanc à faible teneur en gras) éliminez complètement les gras trans et les huiles riches en Oméga-6 (tournesol, maïs, soja, etc.) Consommez régulièrement des aliments riches en phytonutriments et en acides gras essentiels tels que les Oméga-3. Favorisez les aliments suivants : les noix, avocats, légumes verts, fruits frais, fèves et lentilles, poissons (saumon, sardines, thon, maquereau, etc.). Remplacez les céréales raffinées (riz blanc, pain blanc, etc.) par des céréales complètes de culture biologique.
Supplément anti-inflammatoire : Consommez quotidiennement un supplément d'acide gras essentiel de type acide gamma-linolénique (GLA). Cet acide gras est transformé dans l'organisme en prostaglandines, substances qui régulent de nombreux processus physiologiques. Les prostaglandines générées par le GLA possèdent une forte action anti-inflammatoire. L'alimentation normale moderne est un apport très pauvre en GLA, ce qui rend la consommation d'un supplément le meilleur moyen de se procurer les quantités de GLA nécessaires pour juguler l'inflammation.
Contrôle mental : Des chercheurs de L'Institut de Recherche de Hillsborought, en Caroline du Nord (ةtats-Unis), ont découvert que les ondes sonores d'une fréquence situées entre 25 Hz et 140 Hz, favorisent la production d'hormones anti-inflammatoires par le cerveau qui contribuent à réduire l'inflammation. Le conditionnement mental en état de profonde relaxation permet d'exercer une action sur les réflexes alimentaires et de contrôler le centre de la faim.
Une recherche menée par la Harvard School of Public Health, démontre que près de 80% des nord-américains souffriraient d'un syndrome d'inflammation interne, également appelée inflammation silencieuse. Cette affection chronique peut-être détectée par la présence dans le sang d'un marqueur de l'inflammation, la protéine C-réactive (CRP), une molécule produite dans le foie en réaction à l'inflammation.
Les raisons de cette véritable épidémie
L'augmentation de la pollution atmosphérique, de l'eau et de l'alimentation industrielle. Les nombreux toxiques chimiques, sont perçus comme des agresseurs par le système immunitaire. Celui-ci réagit en déclanchant un signal d'alarme émis par certains transmetteurs, les prostaglandines, l'histamine et autres messagers, qui déclenchent les réactions immédiates de l'inflammation.
Un état de stress continu. Il est difficile, dans le monde moderne, de ne pas être confronté à des éléments stresseurs, responsables d'un état de détresse du mental. Cet état stimule la production, par le cerveau, d'éléments chimiques à réaction inflammatoire, selon des chercheurs de l'Université du Michigan.
Une flore intestinale en mauvais état favorise la prolifération de bactéries toxiques dans le système digestif. Cette région de l'organisme abrite près de 80% des lymphocytes macrophages et autres cellules du système immunitaire. L'action défensive du système immunitaire dans la région abdominale, déclenche d'importantes réactions inflammatoires chroniques.
La relation entre l'inflammation interne et l'excès de poids
Une étude publiée dans le British Journal of Sports Medicine révèle que d'être en surpoids augmente le taux d'activité inflammatoire dans le corps, tandis que le fait d'être en bonne condition physique le diminue. L'étude a porté sur 452 hommes en santé. En général, plus le taux de graisse corporelle des participants était élevé, plus le nombre des globules blancs l'était aussi. Un total élevé de globules blancs est un marqueur de l'activité inflammatoire et un facteur de risque important et indépendant de maladie coronarienne et de mortalité, selon l'information de base réunie dans le cadre de l'étude et présentée dans un communiqué de presse par les chercheurs du Pennington Biomedical Research Center, à Baton Rouge, en Louisiane.
L'inflammation blesse les cellules et affecte les mécanismes de l'appétit et du contrôle du poids. Cette situation est responsable de la concentration des graisses au niveau de la région abdominale. Les récepteurs d'insuline sont endommagés ce qui réduit le passage du glucose dans les cellules. Ceci a pour effet de créer une sensation de faim et une envie irrésistible de sucres simples, au niveau du cerveau qui perçoit un manque de glucose dans les cellules.
Cette situation crée un véritable cercle vicieux d'excès de glucose qui alimente l'inflammation et détruira encore plus de récepteurs d'insuline.
Finalement cette inflammation interne chronique enverra un signal de détresse au cerveau qui produira du cortisol, une hormone qui transformera en graisse le glucose en excès. Cette graisse est mise en réserve dans l'organisme, principalement au niveau de la taille.
Tous les gras en excès dans l'organisme entretiennent et alimentent le feu de l'inflammation silencieuse, faisant de l'obésité ou de l'excès de poids une maladie d'inflammation chronique.
De plus, selon les chercheurs, lorsque les cellules subissent le stress d'un excès de graisses, elles stimulent un globule blanc, le M1, qui libère des composés inflammatoires dans le sang, ce qui contribue à créer un cycle sans fin d'inflammation et de stockage de gras dans les cellules.
L'inflammation interne blesse les cellules cérébrales
Les réactions biochimiques provoquées par l'inflammation interne perturbent et diminuent la production de neurotransmetteurs tels que la sérotonine. De faibles taux de sérotonine mènent à l'accumulation des graisses, tandis que des taux élevés de sérotonine incitent à manger moins et à perdre des graisses. La sérotonine est également un puissant anti-inflammatoire.
Réduire l'inflammation interne et perdre du poids
Le plan alimentaire : ةliminez au maximum le sucre et les gras saturés d'origine animale, surtout les charcuteries et toute viande transformée, la viande rouge, les produits laitiers (se limiter à une consommation modérée de yogourt, kéfir ou fromages blanc à faible teneur en gras) éliminez complètement les gras trans et les huiles riches en Oméga-6 (tournesol, maïs, soja, etc.) Consommez régulièrement des aliments riches en phytonutriments et en acides gras essentiels tels que les Oméga-3. Favorisez les aliments suivants : les noix, avocats, légumes verts, fruits frais, fèves et lentilles, poissons (saumon, sardines, thon, maquereau, etc.). Remplacez les céréales raffinées (riz blanc, pain blanc, etc.) par des céréales complètes de culture biologique.
Supplément anti-inflammatoire : Consommez quotidiennement un supplément d'acide gras essentiel de type acide gamma-linolénique (GLA). Cet acide gras est transformé dans l'organisme en prostaglandines, substances qui régulent de nombreux processus physiologiques. Les prostaglandines générées par le GLA possèdent une forte action anti-inflammatoire. L'alimentation normale moderne est un apport très pauvre en GLA, ce qui rend la consommation d'un supplément le meilleur moyen de se procurer les quantités de GLA nécessaires pour juguler l'inflammation.
Contrôle mental : Des chercheurs de L'Institut de Recherche de Hillsborought, en Caroline du Nord (ةtats-Unis), ont découvert que les ondes sonores d'une fréquence situées entre 25 Hz et 140 Hz, favorisent la production d'hormones anti-inflammatoires par le cerveau qui contribuent à réduire l'inflammation. Le conditionnement mental en état de profonde relaxation permet d'exercer une action sur les réflexes alimentaires et de contrôler le centre de la faim.