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ARTISTES PEINTRES ALGERIENNES

3 participants

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1ARTISTES PEINTRES ALGERIENNES Empty ARTISTES PEINTRES ALGERIENNES Sam 15 Sep - 13:32

Mina

Mina
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ISSIAKHEM M'Hamed

M'Hamed Issiakhem (1928-1985) est l'un des plus prestigieux artistes de l'Algérie contemporaine, il a exercé une influence majeure sur la peinture moderne de ce grand pays du Maghreb.

ARTISTES PEINTRES ALGERIENNES Resusmall

Au sein de cette fresque d'une grande richesse, de nombreuses tranches de vie sont juxtaposées (Poster); elles symbolisent le sacrifice du chahid (à gauche), et sa résurrection en homme nouveau (à droite) porteur de tous les espoirs pour les siens. Le corps du chahid dans la composition est totalement recouvert de versets coraniques (détails

M'hamed Issiakhem naît le 17 juin 1928 à Taboudoucht (Douar Aït Djennad,Azeffoun) en Kabylie. A partir de 1931 il passe son enfance à Relizane. En 1943 il manipule une grenade, volée dans un camp militaire, qui explose. Deux de ses sœurs et un neveu meurent. Hospitalisé pendant deux ans, il est amputé du bras gauche. De 1947 à 1951 il est à Alger élève de la Société des Beaux-Arts puis de l’École des Beaux-Arts et suit les cours du miniaturiste Omar Racim. En 1951 il rencontre Kateb Yacine. De 1953 à 1958 il fréquente l'École des Beaux-Arts de Paris où il retrouve Kateb Yacine - les deux artistes demeureront inséparables. En 1958 Issiakhem quitte la France pour séjourner en RFA puis résider en RDA.

En 1962, boursier de la Casa de Velázquez de Madrid, Issiakhem rentre en Algérie. Il est alors dessinateur au quotidien Alger Républicain. En 1963 il est membre fondateur de l’Union Nationale des Arts Plastiques, de 1964 à 1966 chef d’atelier de peinture à l’École des Beaux-Arts d’Alger puis directeur pédagogique de l’École des Beaux-Arts d’Oran. Il illustre alors plusieurs œuvres de Kateb Yacine. De 1965 à 1982 il crée les maquettes des billets de banque et de nombreux timbres-poste algériens. En 1967 il réalise avec Kateb Yacine un film pour la télévision, Poussières de juillet, en 1968 les décors du film La voie, de Slim Riad. En 1971 Issiakhem est professeur d’art graphique à l’École Polytechnique d’Architecture et d’Urbanisme d’Alger et crée les décors pour le film Novembre. Il voyage en 1972 au Viêt Nam et reçoit en 1973 une médaille d’or à la Foire Internationale d’Alger pour la décoration du stand du Ministère du Travail et des Affaires sociales.

De 1973 à 1978 Issiakhem est dessinateur de presse. Il dirige en 1977 la réalisation d’une fresque pour l'Aéroport_d'Alger. Le Ministère du Travail et des Affaires sociales publie à Alger une plaquette dont Kateb Yacine écrit la préface sous le titre Issiakhem, Œil-de-lynx et les américains, trente-cinq années de l’enfer d’un peintre. En 1978 Issiakhem séjourne quelques mois à Moscou et reçoit en 1980 le Premier Simba d’Or (Lion d’Or) de Rome, distinction de l’UNESCO pour l’art africain. Il meurt le 1er décembre 1985 à la suite d’une longue maladie.



Dernière édition par le Dim 25 Nov - 17:39, édité 1 fois

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Invité

c'est une grande peintre de chez nous elle à cottoyer picasso et coquetau, vous pouvez encore voir ces toiles aux musées des beaux arts d'alger,l'entrée est presque gratuite.
Baya Mahieddine (de son vrai nom Fatma Haddad) est née en 1931 à Bordj-el-Kifan, aux environs d'Alger. Elle a eu un destin hors norme, une vie de femme entrecoupée de rencontres surprenantes et de ruptures successives, à travers lesquelles elle devient artiste peintre. Orpheline à l'âge de cinq ans, elle est adoptée par une famille française pendant la guerre de 40. C’est à l’âge de 11 ans qu’elle se mit à dessiner et à peindre, puisant dans son imagination d’enfant son inspiration. Elle créa un univers merveilleux au centre duquel on trouvait une femme aux yeux de biche portant une robe somptueuse et entourée d’oiseaux fabuleux, de fleurs et de plantes. Elle réalisa en 1948 des terres cuites à Vallauris qui charmèrent Picasso lui-même. Vite reconnue et adoptée par le milieu surréaliste, séduit par son inspiration quelque peu naïve, elle ne s’encombre pas des conformismes artistiques en vigueur et ose afficher des références culturelles liées à son pays. Baya peint de façon moderne des femmes fleurs, des reines oiseaux, des princesses. Son art sauvage aux couleurs saturées trouble les artistes de son époque. Ils y trouvent une forme de réponse, une résonance à leur recherche picturale. Senac à écrit également des poèmes sur elle.
Elle se marie en 1953 avec le chanteur-compositeur El-Hadj Mahieddine El-Mahfoud dont elle aura six enfants. Elle vivra dès lors à Blida et n’a plus d’autre perspective qu’une existence de femme au foyer. Plus de peinture pendant dix ans.
L’Algérie nouvellement indépendante lui consacre une rétrospective. A la mort de son mari, sa frénésie de création n’a plus de frein. Elle exposa ses œuvres en 1963 au Musée National des Beaux-Arts à Alger et participa l’année suivante à l’exposition des peintres algériens au Musée des Arts Décoratifs à Paris. En 1966, ses œuvres sont présentées à Alger (préface de Jean Maisonseul et Jean Sénac), ainsi que dans d'autres villes d'Algérie (Tizi-Ouzou en 1977, Annaba en 1978), en France (au Musée Cantini de Marseille en 1982, à Paris en 1984 et 1991). Elle participe à de nombreuses expositions collectives en Algérie, au Maghreb, en Europe, à Cuba et au Japon. Les thèmes de la peinture de Baya se retrouvent dans les textiles traditionnels, les tapis, les céramiques ; ce sont des poissons, des fruits, des papillons, des oiseaux, des fleurs, des instruments de musique… Il se dégage une constance dans la répétition de ces formes, qui sont sans cesse réinventées. Baya meurt dans la nuit du dimanche à lundi 11 novembre 1998 à Blida suite à une longue maladie à l'âge de 68 ans.

Mina

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chiraz a écrit:c'est une grande peintre de chez nous elle à cottoyer picasso et coquetau, vous pouvez encore voir ces toiles aux musées des beaux arts d'alger,l'entrée est presque gratuite.
Baya Mahieddine (de son vrai nom Fatma Haddad) est née en 1931 à Bordj-el-Kifan, aux environs d'Alger. Elle a eu un destin hors norme, une vie de femme entrecoupée de rencontres surprenantes et de ruptures successives, à travers lesquelles elle devient artiste peintre. Orpheline à l'âge de cinq ans, elle est adoptée par une famille française pendant la guerre de 40. C’est à l’âge de 11 ans qu’elle se mit à dessiner et à peindre, puisant dans son imagination d’enfant son inspiration. Elle créa un univers merveilleux au centre duquel on trouvait une femme aux yeux de biche portant une robe somptueuse et entourée d’oiseaux fabuleux, de fleurs et de plantes. Elle réalisa en 1948 des terres cuites à Vallauris qui charmèrent Picasso lui-même. Vite reconnue et adoptée par le milieu surréaliste, séduit par son inspiration quelque peu naïve, elle ne s’encombre pas des conformismes artistiques en vigueur et ose afficher des références culturelles liées à son pays. Baya peint de façon moderne des femmes fleurs, des reines oiseaux, des princesses. Son art sauvage aux couleurs saturées trouble les artistes de son époque. Ils y trouvent une forme de réponse, une résonance à leur recherche picturale. Senac à écrit également des poèmes sur elle.
Elle se marie en 1953 avec le chanteur-compositeur El-Hadj Mahieddine El-Mahfoud dont elle aura six enfants. Elle vivra dès lors à Blida et n’a plus d’autre perspective qu’une existence de femme au foyer. Plus de peinture pendant dix ans.
L’Algérie nouvellement indépendante lui consacre une rétrospective. A la mort de son mari, sa frénésie de création n’a plus de frein. Elle exposa ses œuvres en 1963 au Musée National des Beaux-Arts à Alger et participa l’année suivante à l’exposition des peintres algériens au Musée des Arts Décoratifs à Paris. En 1966, ses œuvres sont présentées à Alger (préface de Jean Maisonseul et Jean Sénac), ainsi que dans d'autres villes d'Algérie (Tizi-Ouzou en 1977, Annaba en 1978), en France (au Musée Cantini de Marseille en 1982, à Paris en 1984 et 1991). Elle participe à de nombreuses expositions collectives en Algérie, au Maghreb, en Europe, à Cuba et au Japon. Les thèmes de la peinture de Baya se retrouvent dans les textiles traditionnels, les tapis, les céramiques ; ce sont des poissons, des fruits, des papillons, des oiseaux, des fleurs, des instruments de musique… Il se dégage une constance dans la répétition de ces formes, qui sont sans cesse réinventées. Baya meurt dans la nuit du dimanche à lundi 11 novembre 1998 à Blida suite à une longue maladie à l'âge de 68 ans.

la première fois que j'ai entendu aprler d'elle, c'était lors d'un examen d'anglais quand j'étais en 9 ème année
trés beau parcours
faut dire qu'on a de grands peintres, mais malheureusement on accorde pas trop d'importance à la peinture Suspect

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olib

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Farida Morsly, l'artiste lumineuse

Représenter le réel est l'affaire des artistes. Quelle que soit la forme d'expression, c'est a eux que revient le privilège de trouver une belle correspondance entre les choses et les mots. Plus sensibles peut-être, sûrement plus doués que le commun des hommes, les créateurs peuvent répondre a l'appel du monde et de ses mystères.
ARTISTES PEINTRES ALGERIENNES Faridamorsly1cp7


Représenter le réel est l'affaire des artistes. Quelle que soit la forme d'expression, c'est a eux que revient le privilège de trouver une belle correspondance entre les choses et les mots. Plus sensibles peut-être, sûrement plus doués que le commun des hommes, les créateurs peuvent répondre a l'appel du monde et de ses mystères. "Savoir, penser, rêver. Tout est là", selon l'expression de Victor Hugo entamant sa longue période d'exil. Quelque décennies plus tard Fadila Morsly fait entendre sa voix dans le concert de la représentation universelle.
La forme d'expression que cette artiste a choisi - si tant est que l'on puisse parler de choix - n'est pas celle du grand poète français. De la même façon, elle n'a pas débuté très tôt dans sa carrière artistique se distinguant du jeune Hugo qui, à seize ans, prêtait le serment d'égaler l'illustre Chateaubriand ou de n'être rien. Par contre, c'est un programme identique qui unit le poète français et notre artiste peintre : la connaissance, la réflexion et le songe.
C'est-a-dire que malgré les différences fondamentales, et peut-être à cause d'elles, chaque créateur a le devoir de se frayer un chemin dans le labyrinthe du monde en confectionnant un fil d'Ariane à sa mesure.
Savoir, penser, rêver, tout est bien là, et Fadila Morsly en dispose à sa manière.
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Quelques confessions...
ARTISTES PEINTRES ALGERIENNES Faridamorsly3ej0
Jusqu'à une date récente rien ne laisser supposer que Fadila Morsly se lancerait un jour dans l'aventure de la création picturale. Après avoir terminé une licence de droit, c'est tout naturellement une carrière d'avocate qui l'attend, mais il faut croire que dés cette époque, les événements tendraient pour préserver a la jeune femme des contrariétés dont le caractère positif n'apparaît qu'ultérieurement.
Renonçant a l'attrait d'une vocation libérale, la jeune universitaire entame un parcours professionnel dans le secteur public durant une quinzaine d'années.
Quand elle en sortira, se sera pour quitter son pays . Destination Conakry, puis Aix-en-Provence.
L'exil attend Fadila Morsly, tout comme l'hôte célèbre de Guernesey dont on ne peut dire ce qu'il a vraiment ressenti : seuls restent ses poèmes et leur inspiration humaine.
Au tour de Fadila Morsly de subir les effet de l'éloignement avant de les transposer dans l'art. A son tour de détourner la dure loi de l'exil vers celle plus vivifiante, de l'effort dans la méditation et le construction d'un "nouveau" monde.
Le dépaysement est en effet vécu tout d'abord sur le mode d'une véritable amputation. A l'absence de l'époux, s'ajoute la perte des repères physiques. On peut imaginer que c'est cette sensation douloureuse de vide qui persiste, lancinante, à l'endroit même ou le membre sectionne fait défaut.
ARTISTES PEINTRES ALGERIENNES Faridamorsly4wd0



Dernière édition par le Dim 25 Nov - 17:16, édité 1 fois

olib

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Admin
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Privée d'une sorte de prolongement de l'être, Fadila Morsly se regarde et regarde le monde qui est désormais le sien. Que faut-il faire pour continuer son existence? Comment retrouver un ordre des choses mesurable, repérable par une conscience "neuve" ?

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Fadila Morsly regarde . La ville est vide. Vides les murs. L'humain semble avoir déserte la place des hommes reels?.Peut-être reste-t-il un espoir de se réchauffer dans les lieux hantes par les rêves et la construction imaginaires?
Sans relâche, les galeries d'art sont investies par l'exilée, et les tableau passionnément interroges. En attente d'une repone, Fadila Morsly finit par se rendre a l'évidence : ce n'est pas la, dans ce qui a été deja dit par d'autres, qu'elle parviendra a apaiser ses interrogations. L'appel du monde continue a résonner en elle sans pouvoir aboutir a une cohérence globale. Il faut donc songer a puiser en soi même les ressources vitales.
Ainsi, l'itinéraire de la création est-il mûri chez Fadila Morsly a partir d'une rupture avec le milieux d'origine et d'un constat de défaillance provenant d'un environnement non pas hostile, mais insensé au sens propre du terme, sans signification, silencieux a l'oreille de celle qui entend autre chose. A la faveur de l'exil et du déséquilibre qui en découle, se met en branle un processus salvateur de l'être, l'impératif besoin de recourir a l'art, au sien propre : "Je sais simplement, dit Fadila Morsly, qu'il faut fuir l'arrêt de la pensée : or le signe ne cesse de questionner : relance permanente d'interprétation, de recherches, je suis avec le signe a la source de la pensée, la ou s'amorce le jugement. Je sais aussi qu'il faut traiter le signe comme le signe premier de la constitution du sujet et le noeud de tous les possibles."
Aussi bien peut on déceler chez l'artiste les prémices annonciatrices de l'oeuvre future en quête de signe, récompensant l'effort de celui qui s'interroge , interroge le monde et finit par entendre un écho favorable a ses voeux. Sans questionnement fondateur du sujet, comment la création pourrait elle exister? Ne faut-il pas commencer par prendre conscience de soi et de ses désirs pour s'apercevoir que l'offre extérieure a soi est insuffisante? N'est ce pas ce mécanisme d'appel et de frustration qu'obéit la règle de la représentation esthétique?
Dès lors, tout semble être dit. Une fois le programme énonce, il convient d'agir.
Entre dans une papeterie, acquérir du matériel, se mettre au travail en tâtonnant. Toucher la matière, s'en imprégner, roder une technique dont on ignorait tout la veille encore. L'essentiel est d'entrée dans l'univers de la représentation du réel.
Ce premier pas, Fadila Morsly le franchit en compagnie de guide dont l'identité importe peu : ils ne sont que des modèles dont elle se sert pour mieux s'en de faire plus tard. Durant des heures et des heures, elle fait l'apprentissage difficile de l'élève obligée de recopier une oeuvre achevée.
Pendant de temps, au fur et a mesure que la main se raffermit, l'oeil se lasse et exige du nouveau, de l'inédit. Ce qui bouillonne en elle n'attend qu'une formalisation qu'elle est désormais en mesure d'accomplir.
C'est alors qu'intervient la deuxième étape d'un parcours que notre peintre engage avec une determination nouvelle : se faire reconnaître en prenant sa place aux cote de ses pairs, après une première période d'activité dont les fruits n'étaient destines qu'a elle seule. Plus question a présent de rester dans l'ombre! Avec les ambitions, se manifestent les signes de la maturité.
Reste a savoir comment parvenir a ses fins. Quelle route emprunter qui soit originale? De quelle manière faut-il s'avancer pour que l'empreinte de ses pas soit visibles parmi tants d'autres?
L'exil encore, une fois, viendra au secours de Fadila Morsly avec son lot de questionnements déstabilisateurs, avec le bouillonnement des deux réalités qu'elle porte en elle : "Les signes sont un moyens de mieux comprendre comment fonctionne une société, une culture. Ils sont un outil de réflexion sur le positionnement de la culture musulmane mais aussi sur son identité.
Les signes transcendant les cultures en ce sens qu'ils ne sont l'affirmation ni la négation, mais la circulation des différences entre les groupes ethniques historiques."
Ainsi parle celle qui présente l'avantage d'être dans l'entre-deux, a mis distance du pays d'origine et de celui qui l'accueille. Méditerranéenne, elle refuse de choisir entre deux entités qui s'ignorent ou se suspectent. Relies par un rayon de solidarité, Deux mondes en Méditerranée cohabitent désormais sur la toile pacifiante.
Méditerranéenne en exil, Fadila Morsly reconstruit un monde a sa mesure, un monde qu'elle sent en elle, un monde qu'elle connaît, qu'elle a pense et rêve.
Sous formes d'arabesques et de figures géométriques, formalises ou informels, fondus dans l'or ou tailles dans le pourpre, les signes voguent en Méditerranée, indifférent aux contradictions, libérés des fausses querelles. L'espoir, trèfles a quatre feuilles, ouvre le passage à L'Amitié avant que la tendresse ne survienne, douce comme le prénom de Fella. Tandis que l'on songe à l'Aimé, Trois petites mains s'amFarusent à se suivre dans l'Intimité chaleureuse. Le monde sourit de toutes ses paillettes dans les toiles de Fadila Morsly.

zack

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Matelot
Matelot

moi je reste hyper admiratif devant les toiles de Omar racim.

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