Très contrôlé depuis le début de l'année, il l'avait déjà été 24 fois avant se fracture de la clavicule, Lance Armstrong aurait eu un comportement quelque peu désobligeant lors d'un contrôle antidopage diligenté le 17 mars par l'Agence française de lutte antidopage. Pierre Bordry, le président de l'AFLD, n'a pas apporté de précision concernant la conduite de l'Américain envers le médecin venu lui prélever un échantillon d'urine, de sang et de cheveux à Saint-Jean-Cap-Ferrat (Cote d'Azur) mais a indiqué ce lundi qu'un rapport avait été envoyé à l'Union cycliste internationale et à l'Agence mondiale antidopage (AMA). Reste à déterminer si l'attitude d'Armstrong ce jour-là pourrait être considérée comme une infraction au code mondial antidopage.
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