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C’est en début de semaine prochaine, le mercredi, plus exactement, que les Hadj et Hadja de cette année vont démarrer l’une des quatre obligations du pélerinage.
Les pèlerins quitteront La Ville sainte, en ce jour pour se rendre dans la plaine de Mouna, située à moins de 10 km de La Mecque. Ils y passeront la nuit avant de regagner le pied du mont Arafaat, jeudi, pour une journée de prières, de recueillement et d’évocations du Tout-Puissant.
C’est la station d’Arafaat, une des quatre obligations (Farata) du Hadj. Le pèlerin qui ne l’observe pas voit son Hadj nul.
Il en est de même de la sacralisation de la grande Circumambulation et les 7 allers-retours de Safa et Marwa. Contrairement à ce qui est souvent avancé, à Arafat, les pèlerins ne seront pas debout toute la journée. Au contraire, ils seront assis, à part, pour les prières canoniques de Tisbaar et Takussaan pour évoquer le Créateur, prier sur le Sceau des prophètes, Seydina Muhammad (Saws). Et ce, jusqu’à la tombée de la nuit, période à laquelle on se déplace vers Moustadifa d’où seront ramassés les cailloux devant servir à lapider Satan lors des séances des Diamraat.
Après quoi, c’est le retour à La Mecque pour la Tawafoul Ifadha (Grande Circumambulation) qui marque la fin du Hadj. En outre, le différend qui opposait les pèlerins sénégalais au Commissaire sur la restauration a connu son épilogue hier. Car, nos compatriotes sont rentrés dans leurs fonds (sommes retenues du pécule et destinées à la restauration).En ce qui concerne l’infirmerie santé, Moubarack Mbacké, coordonnateur chargé des pèlerins, qui rentrait d’une visite à un hôpital de Makat Al Moukarramah, souligne que trois de nos compatriotes dont la situation a nécessité un transfert sont en observation dans cette formation sanitaire.
« Il y a un diabétique qui a eu une attaque assez sérieuse, mais les médecins et soignants saoudiens l’ont bien pris en charge de sorte que son cas s’améliore de façon satisfaisante. Il en est de même d’un épileptique qui a piqué une crise, parce qu’il avait oublié ses médicaments dont il est dépendant. Tout comme deux Hadj et Hadja victimes de fracture, ils ont été traités convenablement », a-t-il expliqué.
C’est en début de semaine prochaine, le mercredi, plus exactement, que les Hadj et Hadja de cette année vont démarrer l’une des quatre obligations du pélerinage.
Les pèlerins quitteront La Ville sainte, en ce jour pour se rendre dans la plaine de Mouna, située à moins de 10 km de La Mecque. Ils y passeront la nuit avant de regagner le pied du mont Arafaat, jeudi, pour une journée de prières, de recueillement et d’évocations du Tout-Puissant.
C’est la station d’Arafaat, une des quatre obligations (Farata) du Hadj. Le pèlerin qui ne l’observe pas voit son Hadj nul.
Il en est de même de la sacralisation de la grande Circumambulation et les 7 allers-retours de Safa et Marwa. Contrairement à ce qui est souvent avancé, à Arafat, les pèlerins ne seront pas debout toute la journée. Au contraire, ils seront assis, à part, pour les prières canoniques de Tisbaar et Takussaan pour évoquer le Créateur, prier sur le Sceau des prophètes, Seydina Muhammad (Saws). Et ce, jusqu’à la tombée de la nuit, période à laquelle on se déplace vers Moustadifa d’où seront ramassés les cailloux devant servir à lapider Satan lors des séances des Diamraat.
Après quoi, c’est le retour à La Mecque pour la Tawafoul Ifadha (Grande Circumambulation) qui marque la fin du Hadj. En outre, le différend qui opposait les pèlerins sénégalais au Commissaire sur la restauration a connu son épilogue hier. Car, nos compatriotes sont rentrés dans leurs fonds (sommes retenues du pécule et destinées à la restauration).En ce qui concerne l’infirmerie santé, Moubarack Mbacké, coordonnateur chargé des pèlerins, qui rentrait d’une visite à un hôpital de Makat Al Moukarramah, souligne que trois de nos compatriotes dont la situation a nécessité un transfert sont en observation dans cette formation sanitaire.
« Il y a un diabétique qui a eu une attaque assez sérieuse, mais les médecins et soignants saoudiens l’ont bien pris en charge de sorte que son cas s’améliore de façon satisfaisante. Il en est de même d’un épileptique qui a piqué une crise, parce qu’il avait oublié ses médicaments dont il est dépendant. Tout comme deux Hadj et Hadja victimes de fracture, ils ont été traités convenablement », a-t-il expliqué.