Il consiste à adapter le type d’aliment avec le moment de la journée qui permettra une meilleure assimilation :
Au petit-déjeuner, il faut manger gras. D’une part, les lipides aident ainsi à éviter le coup de barre qui précède le déjeuner. Et d’autre part, c’est à ce moment que notre métabolisme est le plus actif, donc qu’il brûle le mieux les calories fournis.
Au déjeuner, il faut manger lourd, et principalement des protéines et des féculents. Car les enzymes capables de digérer les protéines sont alors disponibles. En revanche, un simple plat principal suffit. Il ne faut consommer ni entrée, ni laitage, ni dessert.
Au goûter, il faut manger sucré. Mais attention à limiter les sucres raffinés et les confiseries. Mieux vaut privilégier le chocolat, les fruits, les noix… Le goûter est une étape essentielle puisqu’elle permet de consommer moins au dîner.
Au dîner, il faut manger très léger, voire pas du tout. L’assimilation des aliments est fortement ralentie puisque les enzymes s’activent moins et le métabolisme dépense peu. Manger trop en quantité risque d’entrainer le stockage sous forme de graisses. Pour bien dormir, mieux vaut donc souper léger ! L’idéal étant encore de supprimer totalement le dîner.
Une chose importante est l’apparition de la faim après le dernier repas. Elle doit survenir entre 4 et 6 heures après la dernière prise alimentaire. En dessous de 4 heures, cela signifie que le repas précédant n’était pas assez copieux et après 6 heures qu’il l’était trop. Le but est donc d’adapter les repas à cette sensation.
Enfin, le chrono-régime autorise tous les aliments dans la mesure où ils sont consommés dans le moment qui leur est imparti. Rien n’est donc interdit. C’est grâce au principe de la répartition des repas que l’apport calorique diminue, entrainant ainsi la perte de poids constatée.