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mais ils se moquent de qui ???

2 participants

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1démon mais ils se moquent de qui ??? Mar 17 Aoû - 20:45

olib

olib
Admin
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Le match JSK - AL-Ahly a été géré de manière exemplaire
La leçon algérienne


Première confrontation sportive entre les deux pays en terre algérienne, depuis le houleux épisode des éliminatoires jumelées du Mondial et de la CAN 2010 ayant mis aux prises les Verts et les Pharaons, le match JS Kabylie-Al-Ahly du Caire a été l’occasion pour les Algériens de donner une véritable leçon à leurs hôtes égyptiens en leur réservant un accueil digne des rois au cours d’un séjour qu’ils redoutaient tant.

Accueillis par le caillassage de l’autobus transportant les coéquipiers de Karim Ziani, le 12 novembre 2009, à l’occasion du match retour entrant dans le cadre des éliminatoires du Mondial et de la CAN 2010, les Algériens n’ont pas rendu la pareille à leurs hôtes égyptiens, venus en Algérie disputer la rencontre de Champions League africaine contre la JS Kabylie. Au contraire, les partenaires du très populaire en Algérie Mohamed Abou-Trika n’ont eu droit qu’à des roses depuis l’atterrissage de leur avion sur le tarmac de l’aéroport Houari-Boumediène. D’ailleurs, cela a fait dire à ce talentueux footballeur pharaon qu’il n’avait jamais reçu autant de roses dans sa vie et qu’avec la quantité qu’on lui avait remise en Algérie, il pouvait ouvrir un magasin de fleurs à son retour au Caire. Durant tout le séjour de la délégation d’Al-Ahly du Caire, les Algériens étaient aux petits soins avec leurs invités, qui ne sont devenus des adversaires, sportivement parlant, que pendant les quatre-vingt-dix minutes du match. Et là, les Ahmed Hassan, Wael Gomaa et autres Hossam Ghaly ont tenté de mordre la main tendue des Algériens à travers un comportement n’ayant rien à voir avec le fair-play sportif, comme en témoignent les agissements inadmissibles envers le trio d’arbitrage, pourtant correct, et le public.
En plus de crachats provocateurs en direction des supporters kabyles à la fin du match, deux d’entre eux sont allés jusqu’à promettre l’enfer à la JSK lors du match retour dans moins de deux semaines au Cairo Stadium.
À ce manque de gratitude, les Algériens ont répondu par la correction et le respect, comme lors du remplacement d’Abou-Trika, qui a eu droit à un tonnerre d’applaudissements de la part des supporters kabyles. Pendant toute la durée de leur présence en Algérie, les membres de la délégation égyptienne ont été traités de la meilleure manière, que ce soit à l’hôtel Amraoua ou au stade du 1er-Novembre pour les entraînements des joueurs avant le match. Le seul incident, reconnu d’ailleurs comme un acte isolé par les responsables du club cairote, aura été un projectile lancé au passage de l’autobus de Al-Ahly la veille de la confrontation, dont l’auteur arrêté par les services de sécurité devra répondre de son geste devant la justice.
Mieux, le président de la JS Kabylie, Moh-Chérif Hannachi, ainsi que les responsables de la wilaya de Tizi Ouzou, à leur tête le wali, se sont déplacés à l’hôtel où résidaient les Égyptiens pour présenter des excuses et montrer leur bonne foi. Voilà un signe de respect exemplaire envers l’hôte, qui résonne comme une véritable gifle pour les responsables égyptiens, qui n’avaient non seulement rien entrepris contre les énergumènes qui avaient caillassé le bus de la sélection nationale lors de leur transfert de l’aéroport du Caire vers l’hôtel en novembre dernier, mais ont eu le culot d’accuser les joueurs algériens d’avoir eux-mêmes saccagé le véhicule. Toute honte bue, la majeure partie de la presse locale avait endossé cette version des faits dans l’espoir de tromper les responsables de la compétition.
Heureusement que les dirigeants de la Fédération internationale de football association (Fifa) ont confirmé la version algérienne et sanctionné l’Égypte pour n’avoir pas assuré la sécurité de l’équipe adverse. Ceci dit, bien que les équipes égyptiennes ont toujours été reçues en Algérie comme des invités de marque, comme ce fut le cas lors du match aller Algérie-Égypte à Blida, les dirigeants sportifs de ce pays n’acceptant pas la défaite ont toujours trouvé à redire pour justifier leurs échecs, car s’estimant supérieurs à leurs adversaires algériens. Il n’en demeure pas moins que sur le terrain, c’est généralement le meilleur qui gagne, sauf quand l’arbitrage fait des siennes à l’instar du Béninois Coffi Codjia Bonaventure, qui avait défrayé la chronique en demi-finale de la CAN 2010 en offrant la victoire sur un plateau aux Égyptiens en expulsant trois joueurs algériens. Malgré tous ces agissements incorrects, le respect de l’hôte est sacré pour les Algériens qui l’ont montré chaque fois par des actes concrets.

olib

olib
Admin
Admin

La JSK a finalement réussi à terrasser le prestigieux AL-Ahly égyptien
La victoire du cœur et de la dignité



Le football n’est pas une science exacte et la JSK aura confirmé de fort belle manière ce constat déjà bien établi par les spécialistes de la balle ronde.

Face au prestigieux club égyptien constellé de vedettes et de joueurs internationaux qui constituent l’ossature presque complète des Pharaons d’Égypte, champions d’Afrique des nations pour la énième fois, les Canaris ont joué pratiquement sans complexe et ont
imposé magistralement leur
loi et, surtout, leur “insolence” juvénile. Comme aux plus belles heures de la JSK africaine, les camarades d’Aoudia ont réussi à se transcender le temps d’une belle soirée estivale et ramadhanesque pour faire plier l’ogre égyptien.
En fait, le public kabyle, lui, avait déjà bien senti le coup et prédit le vent de la révolte puisqu’il s’est déplacé en masse au stade du 1er-Novembre pour porter aux nues son équipe fétiche et vivre une soirée tout simplement mémorable.
Pour juguler cette foule des grands jours, les responsables de l’Opow de Tizi Ouzou ont ouvert les portes du stade dès 16 heures et, foot-passion oblige, ils étaient des milliers d’inconditionnels kabyles à envahir littéralement les tribunes du stade plusieurs heures avant le Maghreb et toute une éternité avant le coup d’envoi de la rencontre pour déployer des sandwichs de fortune et rompre le jeûne à même les gradins.
Tout cela pour ne pas rater un show mémorable qui fera certainement date dans les annales déjà glorieuses du club kabyle. Et lorsque l’arbitre togolais, Djaope Kokou, siffla le coup d’envoi tant attendu, le stade du 1er-Novembre était plein à craquer, alors que des milliers de supporters acharnés étaient encore agglutinés aux abords du stade et ont dû se résigner à se rabattre sur les cafés du coin et les quelques écrans géants déployés aux quatre coins de la ville des Genêts pour vivre frénétiquement une soirée folle et vibrer aux prouesses techniques des vaillants Canaris.
Sur papier, Al Ahly était super favori de la rencontre avec ses vedettes bien connues, telles que Gomaâ, Abou Trika, Barakat, Gedo, Ahmed Hassan et le capitaine des Pharaons, Ahmed Sayed.
En face, la JSK respirait la force juvénile mais on craignait pour elle le manque d’expérience internationale, surtout qu’elle était handicapée par l’absence de trois joueurs titulaires. On savait que le nouveau libéro Rial était suspendu pour cumul de cartons alors que l’avant-centre nominal, Hamiti, était encore choqué par son terrible accident de la circulation de la semaine dernière. Et comme un malheur ne vient jamais seul, voilà qu’à la toute dernière minute, le gardien titulaire Asselah devait déclarer forfait en raison d’une angine carabinée.
Du coup, on prépara à la hâte le jeune keeper Berrefane, alors que l’excellent libéro malien, Idrissa Coulibaly, retrouvait sa place dans l’axe et que l’ex-Oranais, Nessakh, avait été incorporé comme joker de l’équipe pour brouiller les cartes égyptiennes. Pratiquement dans un 4-4-2 classique avec un quatuor médian très entreprenant et complémentaire, l’incorporation de l’ex-Harrachi, Naïli, la confirmation de Tedjar, qui tape de plus en plus aux portes de l’équipe nationale, et l’expérience du capitaine Douicher, la JSK avait flanqué aux avant-postes deux fers de lance, Aoudia et Yahia-Chérif, qui ont énormément pesé sur la défense égyptienne et ont désarticulé à maintes reprises la citadelle cairote avec leurs raids dévastateurs et leur technique en mouvement.
Du coup, le fameux Ahly s’est vu terriblement contrarié dans sa stratégie habituelle et sa maîtrise collective. Il est vrai que dans leur préparation d’avant-match, le coach suisse Alain Geiger et son précieux complice Kamel Bouhlel avaient réussi à décomplexer leurs poulains en leur rappelant que les vedettes d’Al-Ahly étaient quelque peu vieillissantes, car la plupart d’entre elles dépassaient aisément la trentaine, à l’image de Mohamed Barakat (34 ans), Mohamed Abou Trika (32 ans), Wael Gomaâ (35 ans) et autres Ahmed Hassan (35 ans). Du coup, les Canaris ont aussitôt mordu à pleines dents dans le match pour prendre carrément à la gorge l’épouvantail égyptien. “Nous avions convenu de marquer au plus vite pour faire douter l’adversaire et nous mettre, par là même, en confiance. Nous avions réussi à scorer au moment opportun et la suite des évènements a fini par nous donner raison”, dira après coup Geiger. “Personnellement, je savais que nous étions capables de réussir la passe de trois face à Al-Ahly. J’étais persuadé aussi qu’après l’ouverture du score, nous étions capables de préserver notre acquis et d’offrir une belle victoire à tout le football algérien car il ne faut pas oublier qu’il y avait là une grande bataille de prestige engagée comme d’habitude entre le football algérien et son homologue égyptien”, rétorquera de son côté l’autre technicien de la JSK, Bouhlel.
En fait, tout était bien ficelé et cousu de fil blanc, sauf qu’au bout de l’exploit, le héros de la soirée n’était guère prévu au cocktail. On attendait à la finition, le baroudeur Tedjar, l’opportuniste Aoudia ou encore le fin technicien Yahia-Chérif, mais ce fut bien celui que l’on attendait le moins qui réussit à transpercer la muraille égyptienne et inscrire le précieux but de la victoire.
En ballotage avec le nouveau défenseur Remache, le jeune défenseur Ziti avait été titularisé en dernière minute et il fit preuve d’un culot extraordinaire en jaillissant comme un diable au cœur de la défense cairote pour réceptionner un centre de Tedjar et fusiller sans aucune rémission le gardien Ikrami Sharif (26’). Dès lors, la victoire de la JSK ne faisait plus l’ombre d’un doute même si les Égyptiens jetèrent toutes leurs forces dans la bataille et faillirent même pourrir la fin de match après un but d’égalisation justement refusé pour hors-jeu par l’excellent arbitre togolais Djaopé, bien secondé par ses deux assistants Djoukouré et Ayena.

metallica

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farhouna bzf , surtout apres l'incident hadek

olib

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chefti yetmesskhrou be chaab, yghatou echems bel ghorbal, ils montrent pas les incidents et ils pensent que les gens ne suivent pas les news sur les autres chaines.

metallica

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sur internet , j'ai vu une video d'el jazira sport qui ontre l'zgression d'un joueur egyptien , darouha b yadhoum cette fois ci

olib

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et la presse algerienne cache la verite yakhi tmeskhir .

metallica

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la presse et la tele angry

olib

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ils sont degoutants, nekrahoum.

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