La bouteille de champagne est incontournable sur les podiums de F1... Mais d'où vient cette tradition ?
En 1950, année de la création du Championnat du Monde de F1, le Grand Prix de France avait lieu à Reims, situé au coeur de la champagne. Paul Chandon Moët et son cousin le comte Frédéric Chandon de Brailles, grands amateurs de course automobile, offrirent un jéroboam (grande bouteille de champagne équivalant à quatre bouteilles ordinaires) de Moët et Chandon au vainqueur Juan-Manuel Fangio. Le geste était sympathique ; on continua donc à offrir ce champagne sur le podium.
Seize ans plus tard, Jo Siffert, vainqueur des 24 heures du Mans (dans sa catégorie), enrichit involontairement la tradition. Sur le podium, le champagne était chaud, le bouchon sauta et les bulles jaillirent, arrosant le public à ses pieds. L'année suivante, en 1967, le vainqueur Dan Gurney réitéra volontairement cette douche...
Depuis, les pilotes ne se privent pas pour agiter la bouteille et s'offrir une douche de luxe !
En 1950, année de la création du Championnat du Monde de F1, le Grand Prix de France avait lieu à Reims, situé au coeur de la champagne. Paul Chandon Moët et son cousin le comte Frédéric Chandon de Brailles, grands amateurs de course automobile, offrirent un jéroboam (grande bouteille de champagne équivalant à quatre bouteilles ordinaires) de Moët et Chandon au vainqueur Juan-Manuel Fangio. Le geste était sympathique ; on continua donc à offrir ce champagne sur le podium.
Seize ans plus tard, Jo Siffert, vainqueur des 24 heures du Mans (dans sa catégorie), enrichit involontairement la tradition. Sur le podium, le champagne était chaud, le bouchon sauta et les bulles jaillirent, arrosant le public à ses pieds. L'année suivante, en 1967, le vainqueur Dan Gurney réitéra volontairement cette douche...
Depuis, les pilotes ne se privent pas pour agiter la bouteille et s'offrir une douche de luxe !