Jeux méditerranéens 2013 en Turquie : La ville de Mersin prête pour le défi
Mutlu Turkmen, président de la Fédération turque de boules (g) et l’Algérien Yacine Kafi, membre de la Fédération internationale.
ImprimerPDF Envoyer à un ami Flux RSS Partager C’est un véritable défi qu’avait lancé la Turquie pour l’organisation des Jeux méditerranéens (JM) 2013, à seulement deux années de leur déroulement.
Après en avoir retiré l’organisation à la Grèce, c’est la Turquie qui a pris la lourde responsabilité de se substituer dans le but de perpétuer les JM qui datent depuis plus de 60 ans. Ce sera la 2e fois que le pays de l’ancien empire ottoman organise les JM. En effet, après 1971 (à Izmir), cette fois les Jeux méditerranéens auront lieu à Mersin, une ville économique. «C’est un pôle économique très important», dira le président de la Fédération turque de boules, Mutlu Turkmen, à la suite de sa visite en Algérie, où il a rencontré le président du CIJM, Amar Addadi, pour discuter de l’organisation de sa discipline lors des JM.
«Même s’il ne reste que deux années pour l’inauguration des Jeux méditerranéens, la ville de Mersin sera prête pour réussir l’événement. La Turquie est habituée à organiser de grands événements et elle sera au rendez-vous le jour ‘‘J’’», déclare docteur Mutlu. «On s’est lancé dans la construction d’un aérodrome, d’un nouveau stade de football et d’athlétisme, de trois grandes salles, d’une piscine et d’un boulodrome qui seront opérationnels six mois avant le début des JM», assure notre interlocuteur qui affirme, en outre, que la ville de Mersin dispose du plus important port de transit des produits agricoles et des installations hôtelières adéquates pour organiser un grand événement.
«La ville de Mersin est un pôle économique important et dispose d’infrastructures hôtelières en mesure d’accueillir toutes les délégations participantes. Il y aura entre 3500 et 4000 athlètes, répartis en 30 disciplines, dont deux présentes pour la première dans l’histoire des JM. Il s’agit du taekwondo et du badminton», a expliqué M. Mutlu.Le président de la Fédération turque de boules annoncera aussi qu’un contrat de partenariat entre les deux Fédérations de boules (algérienne et turque) sera signé pour la promotion de la discipline et les échanges de compétences et d’expériences entre les deux pays.
Slimane Mekhaldi
Mutlu Turkmen, président de la Fédération turque de boules (g) et l’Algérien Yacine Kafi, membre de la Fédération internationale.
ImprimerPDF Envoyer à un ami Flux RSS Partager C’est un véritable défi qu’avait lancé la Turquie pour l’organisation des Jeux méditerranéens (JM) 2013, à seulement deux années de leur déroulement.
Après en avoir retiré l’organisation à la Grèce, c’est la Turquie qui a pris la lourde responsabilité de se substituer dans le but de perpétuer les JM qui datent depuis plus de 60 ans. Ce sera la 2e fois que le pays de l’ancien empire ottoman organise les JM. En effet, après 1971 (à Izmir), cette fois les Jeux méditerranéens auront lieu à Mersin, une ville économique. «C’est un pôle économique très important», dira le président de la Fédération turque de boules, Mutlu Turkmen, à la suite de sa visite en Algérie, où il a rencontré le président du CIJM, Amar Addadi, pour discuter de l’organisation de sa discipline lors des JM.
«Même s’il ne reste que deux années pour l’inauguration des Jeux méditerranéens, la ville de Mersin sera prête pour réussir l’événement. La Turquie est habituée à organiser de grands événements et elle sera au rendez-vous le jour ‘‘J’’», déclare docteur Mutlu. «On s’est lancé dans la construction d’un aérodrome, d’un nouveau stade de football et d’athlétisme, de trois grandes salles, d’une piscine et d’un boulodrome qui seront opérationnels six mois avant le début des JM», assure notre interlocuteur qui affirme, en outre, que la ville de Mersin dispose du plus important port de transit des produits agricoles et des installations hôtelières adéquates pour organiser un grand événement.
«La ville de Mersin est un pôle économique important et dispose d’infrastructures hôtelières en mesure d’accueillir toutes les délégations participantes. Il y aura entre 3500 et 4000 athlètes, répartis en 30 disciplines, dont deux présentes pour la première dans l’histoire des JM. Il s’agit du taekwondo et du badminton», a expliqué M. Mutlu.Le président de la Fédération turque de boules annoncera aussi qu’un contrat de partenariat entre les deux Fédérations de boules (algérienne et turque) sera signé pour la promotion de la discipline et les échanges de compétences et d’expériences entre les deux pays.
Slimane Mekhaldi