Une rumeur «absurde»
Si des extraterrestres existent, il faudrait lier un contact avec l’humanité.
L’ONU a qualifié mardi d’«absurdité» la rumeur d’une nomination prochaine d’un ambassadeur, en cas de contact avec des extra-terrestres, en l’occurrence la directrice de son bureau pour les affaires spatiales (Unoosa), Mazlan Othman. «L’article du Sunday Times est une absurdité», a déclaré dans un communiqué l’Unoosa, dont le siège est à Vienne, répondant à un article publié par le quotidien britannique. «La mission du bureau pour les affaires spatiales est définie par l’Assemblée générale des Nations unies et il n’y a pas de projet de modifier la mission actuelle», a précisé l’Unoosa.
Le Sunday Times avait affirmé, dimanche, que l’ONU s’apprêtait à nommer une personne chargée, le cas échéant, d’entrer la première en contact avec des extra-terrestres et que la directrice de l’Unoosa allait obtenir ce poste. L’article ajoutait que Mme Othman devait décrire son futur rôle lors d’une conférence scientifique au Royaume-Uni début octobre. L’Unoosa confirme la participation de Mme Othman à cette conférence organisée par la Royal Society, mais indique qu’elle y interviendra sur les thèmes des astéroïdes et de la réduction des débris spatiaux. Dans une interview accordée à l’AFP en juillet 2009, Mazlan Othman, qui dirige un service de 27 personnes, avait déclaré : «Si nous devions entrer en contact avec les extra-terrestres, qui, pensez-vous, devrait représenter l’humanité ?
Ce serait le secrétaire général des Nations unies (...), et c’est pour cela que nous sommes là». Mazlan Othman, âgée de 58 ans, est directrice depuis 2007 de l’Unoosa. Avant de rejoindre les services de l’ONU, elle dirigeait l’agence spatiale malaisienne. L’Unoosa a pour but de stopper la course aux armements spatiaux et de mettre au point des programmes d’aide à l’accès aux technologies spatiales, qui peuvent faciliter la gestion des ressources naturelles ou encore l’étude de l’impact du changement climatique.
Mazlan Othman, qui présentera son futur rôle éventuel lors d’une conférence en Angleterre la semaine prochaine, a récemment déclaré que les humains devraient se tenir prêts à entrer en contact avec des extraterrestres : «La recherche continue de communication extraterrestre, menée par plusieurs entités, porte l’espoir qu’un jour l’homme reçoive des signaux émis par des extraterrestres. Nous devrions avoir une réponse coordonnée qui prenne en compte toutes les sensibilités liées à ce sujet. L’ONU est un organe prêt à l’emploi pour une telle coordination.» Interrogé par la BBC, le professeur de science spatiale John Zarnecki abonde en ce sens, soulignant que la probabilité d’entrer en contact avec des extraterrestres s’est récemment renforcée.
Si des extraterrestres existent, il faudrait lier un contact avec l’humanité.
L’ONU a qualifié mardi d’«absurdité» la rumeur d’une nomination prochaine d’un ambassadeur, en cas de contact avec des extra-terrestres, en l’occurrence la directrice de son bureau pour les affaires spatiales (Unoosa), Mazlan Othman. «L’article du Sunday Times est une absurdité», a déclaré dans un communiqué l’Unoosa, dont le siège est à Vienne, répondant à un article publié par le quotidien britannique. «La mission du bureau pour les affaires spatiales est définie par l’Assemblée générale des Nations unies et il n’y a pas de projet de modifier la mission actuelle», a précisé l’Unoosa.
Le Sunday Times avait affirmé, dimanche, que l’ONU s’apprêtait à nommer une personne chargée, le cas échéant, d’entrer la première en contact avec des extra-terrestres et que la directrice de l’Unoosa allait obtenir ce poste. L’article ajoutait que Mme Othman devait décrire son futur rôle lors d’une conférence scientifique au Royaume-Uni début octobre. L’Unoosa confirme la participation de Mme Othman à cette conférence organisée par la Royal Society, mais indique qu’elle y interviendra sur les thèmes des astéroïdes et de la réduction des débris spatiaux. Dans une interview accordée à l’AFP en juillet 2009, Mazlan Othman, qui dirige un service de 27 personnes, avait déclaré : «Si nous devions entrer en contact avec les extra-terrestres, qui, pensez-vous, devrait représenter l’humanité ?
Ce serait le secrétaire général des Nations unies (...), et c’est pour cela que nous sommes là». Mazlan Othman, âgée de 58 ans, est directrice depuis 2007 de l’Unoosa. Avant de rejoindre les services de l’ONU, elle dirigeait l’agence spatiale malaisienne. L’Unoosa a pour but de stopper la course aux armements spatiaux et de mettre au point des programmes d’aide à l’accès aux technologies spatiales, qui peuvent faciliter la gestion des ressources naturelles ou encore l’étude de l’impact du changement climatique.
Mazlan Othman, qui présentera son futur rôle éventuel lors d’une conférence en Angleterre la semaine prochaine, a récemment déclaré que les humains devraient se tenir prêts à entrer en contact avec des extraterrestres : «La recherche continue de communication extraterrestre, menée par plusieurs entités, porte l’espoir qu’un jour l’homme reçoive des signaux émis par des extraterrestres. Nous devrions avoir une réponse coordonnée qui prenne en compte toutes les sensibilités liées à ce sujet. L’ONU est un organe prêt à l’emploi pour une telle coordination.» Interrogé par la BBC, le professeur de science spatiale John Zarnecki abonde en ce sens, soulignant que la probabilité d’entrer en contact avec des extraterrestres s’est récemment renforcée.