Parti de Lyon à pied, il sera à Pékin pour la cérémonie d'ouverture des JO
Robert Membré, un retraité de 63 ans, vient de relier Lyon à Pékin à pied au cours d'un périple qui a duré un an et dix-huit jours pour délivrer un message de paix à l'occasion des Jeux Olympiques
L'homme qui a quitté Saint-Genis-Laval (Rhône) le 21 juillet 2007 a effectué plus de 14.000 kilomètres à raison de 40 km par jour effectués "en marche rapide", et a traversé une douzaine de pays parmi lesquels l'Italie, la Serbie, la Macédoine, la Géorgie, le Kirghizstan avant d'arriver Chine début mars.
"Il se trouve aujourd'hui (jeudi) à 20 km de Pékin, il devait arriver au stade olympique vendredi pour l'ouverture des JO",
A l'origine de ce projet : la passion de Robert Membré pour l'idéal olympique et l'envie de faire passer un message de paix.
Le coureur a effectué son périple sans aucune assistance, avec pour seul bagage un chariot transportant une tente, un duvet, un téléphone et quelques effets personnels.
Il a bénéficié de "très peu de moyens financiers" au cours de son aventure, assure-t-on chez Veolia Eau, qui lui a fourni des vêtements, l'a aidé à obtenir ses visas et l'a logé chez des collaborateurs du groupe.
"Il est parti avec presque rien et ne parle pas chinois"
Robert Membré, un retraité de 63 ans, vient de relier Lyon à Pékin à pied au cours d'un périple qui a duré un an et dix-huit jours pour délivrer un message de paix à l'occasion des Jeux Olympiques
L'homme qui a quitté Saint-Genis-Laval (Rhône) le 21 juillet 2007 a effectué plus de 14.000 kilomètres à raison de 40 km par jour effectués "en marche rapide", et a traversé une douzaine de pays parmi lesquels l'Italie, la Serbie, la Macédoine, la Géorgie, le Kirghizstan avant d'arriver Chine début mars.
"Il se trouve aujourd'hui (jeudi) à 20 km de Pékin, il devait arriver au stade olympique vendredi pour l'ouverture des JO",
A l'origine de ce projet : la passion de Robert Membré pour l'idéal olympique et l'envie de faire passer un message de paix.
Le coureur a effectué son périple sans aucune assistance, avec pour seul bagage un chariot transportant une tente, un duvet, un téléphone et quelques effets personnels.
Il a bénéficié de "très peu de moyens financiers" au cours de son aventure, assure-t-on chez Veolia Eau, qui lui a fourni des vêtements, l'a aidé à obtenir ses visas et l'a logé chez des collaborateurs du groupe.
"Il est parti avec presque rien et ne parle pas chinois"