Les champions kenyans sont très réputés pour leurs performances sportives exceptionnelles : ils ont remporté depuis les années 1980 environ 40 % des médailles en course de fond et demi-fond aux jeux Olympiques et aux championnats mondiaux d’athlétisme.
Ils n’ont toutefois pas les mêmes résultats au 100 mètres, où ils sont loin du record mondial. Certaines populations sont en effet avantagées génétiquement pour les sports nécessitant force et vitesse comme le sprint, d’autres sont avantagées pour les sports d’endurance. Les Kenyans ont une morphologie très adaptée à la course de fond. Ils ont par exemple une quantité importante de fibres lentes, utilisées pour les efforts soutenus comme la course d’endurance.
Toutefois, la génétique n’explique pas comment ils parviennent à devenir de grands champions. Il faut tenir compte d’autres facteurs : éducation, culture, entraînement, situation économique, environnement géographique et politique. Ainsi, les victoires du premier grand athlète kenyan, Kip Keino (médaillé d’or aux Jeux Olympiques en 1968 et 1972), ont fait naître une forte émulation dans le pays où le niveau n’a cessé de monter. Les coureurs sont montrés en exemple et entrent dans l’armée ou dans l’administration d’État où ils bénéficient d’un traitement de faveur.
Les Kenyans sont aussi réputés pour leurs méthodes de préparation particulièrement intensives. De nombreux athlètes européens suivent d’ailleurs régulièrement des stages dans les camps d’entraînement kenyans.
Ils n’ont toutefois pas les mêmes résultats au 100 mètres, où ils sont loin du record mondial. Certaines populations sont en effet avantagées génétiquement pour les sports nécessitant force et vitesse comme le sprint, d’autres sont avantagées pour les sports d’endurance. Les Kenyans ont une morphologie très adaptée à la course de fond. Ils ont par exemple une quantité importante de fibres lentes, utilisées pour les efforts soutenus comme la course d’endurance.
Toutefois, la génétique n’explique pas comment ils parviennent à devenir de grands champions. Il faut tenir compte d’autres facteurs : éducation, culture, entraînement, situation économique, environnement géographique et politique. Ainsi, les victoires du premier grand athlète kenyan, Kip Keino (médaillé d’or aux Jeux Olympiques en 1968 et 1972), ont fait naître une forte émulation dans le pays où le niveau n’a cessé de monter. Les coureurs sont montrés en exemple et entrent dans l’armée ou dans l’administration d’État où ils bénéficient d’un traitement de faveur.
Les Kenyans sont aussi réputés pour leurs méthodes de préparation particulièrement intensives. De nombreux athlètes européens suivent d’ailleurs régulièrement des stages dans les camps d’entraînement kenyans.