Le code à barres a 35 ans !
Certaines applications existaient dès les années 50, mais pour lui permettre de s’exprimer, il lui manquait son indispensable lecteur : le scanner laser. Il fut inventé par l’ingénieur Jerome Swartz qui co-fonda l’entreprise Symbol Technologies spécialisée dans l’identification et qui fait désormais partie du groupe Motorola Enterprise Mobility Solutions.
Aujourd’hui, rien que le code UPC (Universal Product Code – EAN en Europe) est utilisé plus de 10 milliards de fois par jour. Ce code à barre classique comporte 95 bits, soit 12 caractères. 5 sont utilisés pour identifier le producteur, et 5 autres pour le produit.
Le code à barres est aussi devenu plus intelligent. Le plus bel exemple est celui du code placé sur un paquet de café et qui informe le percolateur doté d’un lecteur sur le niveau de pression et la température de l’eau requis pour ce café spécifique.
Le code à barres a également évolué vers des versions 2D lisibles par des caméras plutôt que par des rayons laser. Ses avantages sont de pouvoir stocker plus d’informations, d’ajouter des caractères exotiques, d’être encore lisibles lorsque 60% de l’image est détruite et enfin de pouvoir être lus par un GSM équipé d’un logiciel spécial. Le message peut être un prix, un URL, un numéro de téléphone, un texte libre et même un positionnement GPS.
On voit que l’avenir du code à barres est clairement dans l’univers mobile et l’internet. Un GSM avec lecteur intégré pourrait, dans un magasin, scanner un code pour en connaître le prix… et faire une comparaison automatique avec d’autres produits concurrents.
Depuis longtemps, on présente la RFID (identification par radio fréquence) comme le successeur inévitable du code à barres, mais vu son coût, ce concurrent reste encore limité à l’identification de produits coûteux (des palettes de produits, certains vêtements…). La RFID utilise un signal radio émis par une puce pour identifier le produit et lire les informations bien plus étendues que celle d’un code à barres de 12 caractères.
Rappelons aussi que lors du lancement en 1974, le code à barres avait suscité de nombreuses craintes et même des actions en justice pour atteintes au respect de la vie privée.
Certaines applications existaient dès les années 50, mais pour lui permettre de s’exprimer, il lui manquait son indispensable lecteur : le scanner laser. Il fut inventé par l’ingénieur Jerome Swartz qui co-fonda l’entreprise Symbol Technologies spécialisée dans l’identification et qui fait désormais partie du groupe Motorola Enterprise Mobility Solutions.
Aujourd’hui, rien que le code UPC (Universal Product Code – EAN en Europe) est utilisé plus de 10 milliards de fois par jour. Ce code à barre classique comporte 95 bits, soit 12 caractères. 5 sont utilisés pour identifier le producteur, et 5 autres pour le produit.
Le code à barres est aussi devenu plus intelligent. Le plus bel exemple est celui du code placé sur un paquet de café et qui informe le percolateur doté d’un lecteur sur le niveau de pression et la température de l’eau requis pour ce café spécifique.
Le code à barres a également évolué vers des versions 2D lisibles par des caméras plutôt que par des rayons laser. Ses avantages sont de pouvoir stocker plus d’informations, d’ajouter des caractères exotiques, d’être encore lisibles lorsque 60% de l’image est détruite et enfin de pouvoir être lus par un GSM équipé d’un logiciel spécial. Le message peut être un prix, un URL, un numéro de téléphone, un texte libre et même un positionnement GPS.
On voit que l’avenir du code à barres est clairement dans l’univers mobile et l’internet. Un GSM avec lecteur intégré pourrait, dans un magasin, scanner un code pour en connaître le prix… et faire une comparaison automatique avec d’autres produits concurrents.
Depuis longtemps, on présente la RFID (identification par radio fréquence) comme le successeur inévitable du code à barres, mais vu son coût, ce concurrent reste encore limité à l’identification de produits coûteux (des palettes de produits, certains vêtements…). La RFID utilise un signal radio émis par une puce pour identifier le produit et lire les informations bien plus étendues que celle d’un code à barres de 12 caractères.
Rappelons aussi que lors du lancement en 1974, le code à barres avait suscité de nombreuses craintes et même des actions en justice pour atteintes au respect de la vie privée.